
Quelle suspension pour quelle pièce ?
Publié le 20 Novembre 2018
Avant tout, une suspension ne doit pas entraver la circulation des
personnes, il faut donc éviter qu’on se cogne la tête. Il faut donc d’abord
tenir compte de la hauteur sous plafond de la pièce.
L’entrée est par définition l’accès incontournable de
l’habitation. Aussi préconisons-nous d’utiliser une suspension équipée d’un
variateur afin de moduler l’intensité de l’éclairage selon les
circonstances : pleins feux pour les invités, éclairage tamisé pour un
usage quotidien.
Pour ce qui concerne le salon, on demandera davantage à la source de lumière de
favoriser des zones distinctes : près d’un fauteuil pour la lecture,
au-dessus de la table basse pour une soirée entre amis. Les usages veulent que
la suspension ne descende pas plus bas que 2,2 mètres afin de n’être en aucun
cas gênante. Là aussi on privilégiera les suspensions avec variateur. Et on
complétera naturellement avec une lampe à poser ou un lampadaire, assorti ou
non.
Dans la salle à manger en revanche, si la suspension est placée au-dessus de la
table de repas, on pourra la faire descendre plus bas afin d’amplifier la
sensation de convivialité. Veillez toutefois à ce qu’un espace d’un mètre
sépare la suspension et le plateau de la table pour n’éblouir personne.
Dans la chambre, nul
n’est besoin d’un éclairage général. Nous vous conseillons des suspensions qui
descendent jusqu’au-dessus des tables de chevet au niveau de la tête de lit à
environ 1,20 mètre du sol. Veillez à conserver un espace d’une quarantaine de
centimètres entre la table de chevet et le bas de la suspension pour davantage de confort.
LZF, marque artisanale espagnole, propose une collection de suspensions pour tous les usages.